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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 15:05

Les vacances approchent, il est grand temps d'étoffer la pile de bouquins à dévorer en position de merguez grillée sur la plage ! Voici donc l'actualité de mes compagnons de plume.

Commençons par la jolie Chantal Bauwens, délicieuse créature belge, craquante comme une tablette de côte d'or, fraiche comme une Bocholter Kwikpils Premiumbier, qui nous décortique à merveille les faits de société. Après les succès de Chasse @ coeurs et De la part d'Aloïs, elle cartonne depuis quelques mois avec un récit trucculent sur l'infidélité masculine : Confessions d'une maîtresse joyeuse :



Passons maintenant à notre maître du polar, l'Hercule (devant rien !) Poirot de l'avant-pays savoyard, celui qui écrit plus vite qu'il ne respire, l'inénarrable Richard Keller (prononcez Ritcheude Killeur !).  Après le succès de ... Les deux bouts de la corde du chat perché sur la fleur dans un champ de maïs sous le 8è soleil (oui bon je résume sinon on y passe la nuit, c'est qu'il est prolifique le bougre !), il nous présente son petit dernier : Les orages maléfiques.


Quant à la douce Marie-Laure Bigand, la marathonienne de la dédicace, celle qui frôle la tendinite au quotidien à force de signer à tour de stylo, elle nous régale de son 3è opus tout juste sorti de l'imprimerie : D'une vie à l'autre.


Tous les liens sont bien évidement ci-contre, dans la rubrique des Pot'auteurs !

 

Bonne lecture !

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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 22:16


 J'aime beaucoup la lettre O, le dictionnaire est bourré de mots que l'on peut détourner avec plaisir !

Occiput = péripatéticienne assassinée !
Obus = Suis bourré (en ch'ti !)
Océan = Quel postérieur !
Ocelot = Woah quelle pépée !
Oecuménique = Il me sodomise !
Omnipotente = Obèse de pied en cap !
Omoplate = Lesbienne sans poitrine !
Onanisme = Mouvement en faveur des personnes de petite taille !
Opportunité...alors j'suis allé à la gare !
Opercule = Grouille-toi de terminer tes travaux gros tas de muscles !
Opérette = Fais péter la crème !
Opprobre...comme au figuré !
Oraison = Tu as tort !
Oratorien = Le film est nul, on peut se barrer !
Orbital = Chastement !
Ossature = On en a ras le caisson !
Ostracisme = Haine des huîtres !
Ouille = Esticule !
Ouailles = Because !
Ozone = Quel endroit peu rassurant !

Oui, je sais... Il est tard, je vais me coucher...pardon !
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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 12:02



N...comme NAVRANT !


Il y a un an tout pile, je faisais sur ce blog l'apologie de l'émission Nouvelle Star, mon pêché mignon d'adolescente attardée ! Oui, je l'avoue, j'ai vibré pour Thierry Amiel, j'ai été emballée par Myriam Abel, scotchée par Christophe Willem, époustouflée par Julien Doré, charmée par Benjamin Siksou... Oui, je l'avoue, j'ai poussé maintes fois des Waoh admiratifs, des putbiiiiiip sidérés, des bordtuuuuuut émus, tout émoustillée dans mon canapé. Oui, je l'avoue, j'ai composé le 3660 d'un doigt allègre pour encourager mes chouchous ! Des années à attendre fébrilement ces soirées chargées d'émotion, de surprises, de talent...tout simplement.




Cette année, tout ce que m'inspire ce programme, c'est la Nullité absolue, Le Néant, la Nausée, la Neurasthénie, la Niaiserie...

Je suis consternée par le choix affligeant du jury. Comment est-il possible d'en arriver à une sélection aussi pitoyable ?  Au delà de ce choix effarant, leurs commentaires hebdomadaires les enfoncent davantage. Il faudra m'expliquer comment on peut couvrir d'éloges un nabot hybride prostipunk massacrant tour à tour The Cure ou Christophe. Il faudra m'expliquer comment on peut supporter et apprécier une réincarnation de Nana Moukouri qui sort à peine une ou deux notes justes par prestation alors que j'ai le sentiment d'écouter un asthmatique en pleine crise jouant de l'harmonica. Il faudra m'expliquer comment on peut encourager un coiffeur version Priscilla folle du désert à en faire des caisses...si encore il savait chanter...

Quant aux téléspectateurs, ils ne valent décidément pas mieux puisqu'ils éjectent tour à tour les "moins pires" d'entre eux, Mélissa puis Madhi, alors qu'ils étaient à peu près les seuls à être en mesure de la suivre...la mesure !

Je suis incroyablement déçue, capable de flanquer un mawashigeri à Sinclair si je le croisais, capable d'offrir un soutien-gorge à Lio, capable de payer des cours d'orthophonie à Virginuche Guilhaume, capable de coller une beigne à Manoeuvre pour lui faire sauter ses fichues lunettes de soleil, capable...de ne plus regarder un de mes programmes préférés pour laisser l'homme mater ses matches de foot le mardi soir...

Bande de Nazes !

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 16:05


... mutisme !








Non, je n'ai même pas honte ... ou juste un peu alors !
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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 19:14


















Pierre-Etienne SEVEDAVY
39 ANS
Un roman publié : Comment se quitte-t-on ce soir ?

 

Vanessa et moi, c’est une grande histoire d’amour.

Nous avons tant de choses en commun parmi toutes les valeurs essentielles de l’existence qui cimentent les âmes : les sapins de Noël en plastique, les cacahuètes grillées à sec, le fan Club des Sumos végétariens, la Nouvelle Star… la liste est longue et formerait une litanie enivrante pour qui voudrait égrener le chapelet secret des amours éternels.

Aussi lorsqu’elle me demanda de participer à ses mots d’auteur, je trouvai cela bien naturel, bien que tardif, et ne sus tout d’abord qui accuser de mon ineffable charme ou de mon talent planétaire pour expliquer une envie si gourmande. Faut expliquer ton parcours d’auteur, qu’elle me dit. Bien.

Je suis auteur, donc. Et je vous assure que c’est bien difficile à assumer. Si si.

Ma démarche vis-à-vis de l’écriture serait celle d’un jeune homme qui irait seul au cinéma porno un soir. Pour le plaisir, dans le noir, vaguement honteux, avec l’espoir d’y être reconnu un peu et critiqué beaucoup, en se demandant si c’est une bonne idée. Cette expérience solitaire est souvent une aventure frustrante.

En ce qui me concerne, j’ai trouvé un jour au coin d’un bois, un bout de sujet qui dépassait. J’ai tiré dessus, tiré dessus, et tiré encore. J’ai réussi à démêler tant bien que mal la première pelote qui était à mes pieds, et ce premier roman est sorti. Une histoire, quelques émotions, il fallait trouver ensuite les mots justes pour rendre cela présentable. Quand on me demande de quoi cela parle, je réponds invariablement : « ça ne raconte rien. Ça raconte la journée d’un type ordinaire qui doit rentrer chez lui un soir et enterrer son petit chat. »

Je sais que c’est imparfait, le travail sonne continuellement à ma porte. Les thèmes légèrement développés dans ce premier volet font appel aux regrets, à la mélancolie, aux choix que l’on croit justes mais qui déconstruisent un homme plus qu’il n’y paraît. Pour naviguer dans ces allers-retours, j’ai tenté de rompre ave la continuité de la narration.

Et comme un musicien qui se plairait à distordre sous la torture tous les accords qu’il aime, ces thèmes seront poussés jusqu’au paroxysme et à l’horreur dans les 2 autres volets qui devraient suivre.

J’ai eu envie d’écrire une histoire que j’aurais aimé lire. Les romans historiques m’ennuient, les histoires d’amour me navrent, la science fiction me fait rire, les récits de voyage me laissent à quai. Mais la poésie m’enivre, et mes livres de chevet se situent chez Bruce Lowery, Hubert Selby Jr, Roger Martin du Gard, Tom Wolfe, et Ian Mc Ewan parfois. Mais je lis peu. Lire m’épuise.

Ecrire est beaucoup moins fatiguant, parce que beaucoup plus exigeant. J’ai toujours abordé l’écriture comme un plaisir et un passe-temps, comme d’autres feraient des maquettes de bateaux minutieusement le week-end.

Ma hantise est de ne pas réussir à transmettre l’histoire ou l’émotion d’une histoire. Je suis obsédé par le rythme des phrases. Je dois toujours chercher davantage de simplicité et d’épurement, car je sais que l’un de mes défauts est de sacrifier trop souvent la concision sur l’autel de l’image surenchérie ou de la figure de style.

L’autre jour à la radio, une journaliste littéraire pérorait sur un livre dont j’ai oublié le nom. Comme elle ne savait finalement pas trop qu’en dire mais qu’il fallait faire montre d’intellectualisme, elle eut cette phrase  péremptoire : C’est formidable, c’est écrit dans l’urgence !

Cette imbécile venait de donner la définition contraire de l’écriture telle que je la considère : rien n’est écrit dans l’urgence. Ce qui semble spontané naît du travail. Ce qui paraît brouillon et hâtif prend sa force dans une construction très précise. Pour le talent, c’est autre chose. Qui peut se targuer d’en avoir ?

Il faut faire les choses sérieusement sans trop se prendre au sérieux.

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 19:05



1 mois sans rédiger de note, je vais passer pour un Loir Lymphatique Lobotomisé.  C'est pourtant Le moment de Livrer une idée Lumineuse si je ne veux pas Lasser mes 3 fans sans sombrer dans la Logorrhée.
Mon choix se portera donc sur le mot LIT !
Qui a dit que la plus belle invention de l'homme était la roue ? Que nenni ! Béni soit le concepteur de ce merveilleux objet pour lequel je voue une véritable adoration ! (Béni soit aussi l'inventeur du lave-vaisselle au passage, oui, je suis une grosse feignasse et j'assume !)
Quoi de plus délicieux que de s'immerger sous une couette douillette ? De s'y abandonner dans les bras de Morphée (ou occasionnellement dans ceux du co-occupant qui est nettement plus réceptif que le vieux Grec dans un contexte plus coquin !)
Aaaaah les grasses mat' du week end, les siestes crapuleuses, les batailles d'oreiller avec les naines, la douce chaleur retrouvée les soirs d'hiver...

Ô mon dodoooooooohohohooooooooooooooooo !!!

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 19:27
Un de mes titres favoris du groupe irlandais...

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 11:13



K... la bête noire des parties de scrabble...et de mon abécédaire ! Je me creuse les hémisphères depuis pas mal de temps déjà, mais en vain. Kiwi, ketchup, kama-utra...c'est kif-kif et justement, je ne kiffe sur rien ! Peut-être devrais-je justement en fumer...du kif ! Fantasmer sur un Kassite en kimono ou sur un kiné khâgneux dansant sur un kilim en kilt ? Mof...! M'extasier sur les toiles de Klee, Klimt ou Kandinsky , Mouais...mais pas assez pour en faire tout un K ! Je ne suis pas non plus suffisamment kamikaze pour me lancer dans l'analyse des théories kantiennes, pas assez sportive pour livrer une kyrielle de commentaires sur le karaté, le karting, le kayak ou le kung-fu. Je n'apprécie ni les kermesses, ni les karaoké. Les slips kangourous ? C'est trop kitsch !

Je le confesse, je suis en plein krach, K-O, je n'ai plus qu'à me descendre un kil de kirsch pour espérer retrouver un bon karma !


PS : Petit clin d'oeil et gros bec à mon ami Richard Keller qui ne me pardonnerait JAMAIS de ne pas le mentionner dans cette note !!

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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 17:56



Voilà, j'ai TOUT fait pour gagner le dernier roman d'Agnès Abécassis, TOOOOOUUUUT ! Le concours organisé par son éditeur, celui de Cosmopolitan, et pour finir, j'ai même tenté ma chance en rédigeant une courte nouvelle pour le concours concocté par le site Plume libre. (Il s'agissait d'écrire une page maxi en commençant par : elle fixa le miroir de la salle de bain. Soudain...)
Rien ! Chou blanc ! Que couic ! Pfffff...
Pour la peine, je publie donc ma lamentable prose ici...

 

RID(HIC)ULE !


Elle fixa le miroir de la salle de bain.

Soudain, elle aperçut une fissure suspecte en plein milieu de la glace ! Elle s'approcha pour examiner les dégâts mais, constata que la fissure était mobile et, comble du comble, qu'elle prenait du volume à mesure qu'elle s'en approchait.

- Morne couille ! Une ride ! s'exclama-t-elle, stupéfaite.

Elle plaqua son visage tout contre le miroir pour constater qu'en approfondissant l'expertise, la garce de ride n'était pas la seule à strier ce visage hier encore ultra lisse !

- Aaaaaah ! Les cousines sont aussi de la partie ! Regarde-moi ces pattes d'oies, on dirait des fourches à fumier !

Au faîte de ce drame, elle fut arrachée à son tourment par le timbre rauque du mâle aimé.

- T'as pas vu mon écharpe ? J'suis à la bourre !
- Je me fiche de ton écharpe, je suis un shar-peï ! Et si je la trouve, je me pends avec en l'attachant à la barre de douche !
- Tu ne risques rien, je l'ai fixée trop souple ! Et puis j'adore les chiens ! Tant pis pour mes amygdales, je file, à ce soir ! Et ne bave pas partout hein, wouaf !

Le mufle l'abandonna à son désarroi. En tête à tête avec ses sillons fraichement creusés, elle se mit à déprimer sec ! Elle regretta soudain d'avoir négligé de se tartiner de crèmes anti-rides, de potions anti-bide, de masques hydratants, de baumes ultra-chiants... Elle n'a jamais été friande de tous ces produits, probablement trop confiante en son capital de base, trop feignasse pour s'occuper de son propre corps. Et voilà que son insouciance est en train de lui labourer le visage avec une ardeur exagérément zélée. «Ô sénescence toute puissante, pourquoi as-tu décidé de jeter ton dévolu sur moi qui ne suis pas psychologiquement préparée ?!», pensa-t-elle. «Il y a des tas de vieilles peaux à tanner, pourquoi la mienne ?».

Consciente que son jour de repos démarrait sous les plus mauvais auspices, elle décida de se reprendre et quitta cette maudite salle de bain. Elle brancha la chaine stéréo sur sa station de radio préférée. Celle-ci jouait un morceau du groupe Alan Parsons Project. Elle n'eut que le temps d'écouter le refrain, «I can «ride» your mind», avant d'éteindre l'appareil d'un doigt rageur. Elle se rabattit alors sur le premier CD qu'elle trouva : Lou «Ride» !

- Grrrrrr ! Je n'ai plus qu'à me farcir un bon DVD !

Elle arrêta son choix sur «Thelma et Louise». Le faciès fripé de Susan Sarandon lui redonnerait le sourire ! Mais elle abandonna très vite son idée en se remémorant le nom du réalisateur : «Ride Laid» Scott !

- Marre marre marre ! Fulmina-t-elle ! Où est cette saleté d'écharpe que j'aille me pendre ?

Après quelques minutes de recherches laborieuses, elle trouva enfin le cache-nez, dans les toilettes (les hommes ont décidément une logique qui nous échappera toujours !), négligemment jeté sur une pile de magazines. Elle saisit l'écharpe d'un geste si brusque que toutes les revues s'écroulèrent. Son regard s'arrêta soudain sur une couverture au titre évocateur : «40 ans : vous n'avez jamais été aussi belle !». Elle se laissa choir mollement sur la lunette des WC pour éplucher ce numéro de Marie-Eulalie jusqu'à ce qu'elle parvienne au dossier du mois : Le bonheur d'être quadra. Commença alors une longue remontée au beau fixe d'un moral enseveli au tréfonds de ses chaussettes, à grands coups de «vous êtes enfin au summum de votre féminité, la maternité a embelli vos courbes, vos ridules vous donnent de la personnalité, l'expérience vous a appris mettre en valeur vos atouts, les hommes de n'importe quelle tranche d'âge vous convoitent, vous êtes de vraies bombes à l'image des Marceau et autres Bellucci...».


Elle dévora tous les articles avec un sourire béat. Elle sortit, chancelante, les jambes envahies de fourmis, mais absolument radieuse, «j'ai 42 ans, mes ridules me donnent de la personnalité, je suis belle et désirable !». Elle roula l'écharpe du mâle aimé en boule et la jeta sans aucun état d'âme à la poubelle !

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 11:04



J...comme jouer.

Qu'est-ce que la vie sinon un jeu permanent ? Tout petit, c'est notre seule motivation. Plus tard, on joue la comédie pour attirer l'attention. Adulte, on commence à jouer un rôle, pour s'intégrer, se faire accepter, puis on se joue des autres, on joue des coudes, pour sortir du lot. On joue parfois avec le feu tant la tentation est grande. On aime aussi jouer sa victime, toujours dans l'espoir d'être au centre de toutes les attentions. On fait jouer ses relations pour écraser les autres et jouer le héros. Que les enjeux soient futiles ou capitaux, nous passons l'essentiel de notre existence à jouer.

Ce que je préfère par dessus tout, bien évidemment, c'est jouer sur, et avec les mots !

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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 18:46






















Nathalie SEGUENOT - 39 ans - 2 Livres publiés :
Anna t'aime
Les mots de ma plume

Des mots !
 
Je suis une mangeuse de mots !  Une boulimique devrais-je dire.
 
Depuis toute petite, j’ai aimé écrire. Des poèmes, des chansons françaises et anglaises aussi. Puis des textes. Des lignes au hasard des pensées. Pas de journal intime, juste des mots qui se composent au gré de ma fantaisie.
 
Un terrible chagrin d’amour m’a poussé à écrire encore plus. J’écrivais de longues lettres, détaillées, où mes tourments se mêlaient aux pages blanches. Et ce recueil est devenu mon premier livre, autoédité, Anna t’aime.
 
Puis est venu le blog. Avec Dentelle et Arsenic, je me suis lâchée. J’ai créé un lien direct avec le monde extérieur.
 
J’ai également auto-édité un livre de poèmes, les maux de ma plume.
 
Je ne suis pas écrivain. Tout juste une aligneuse de mots. Triturés, puzzlés, remaniés dans tous les sens, ils prennent une consonnance à part. il est vrai que j’ai la plume particulière… Mais écrire est plus qu’un passe-temps, c’est un exutoire. Une manière différente de rendre grâce à mes pensées les plus enfouies.

Retrouvez le blog de Nathalie dans la rubrique "une visite chez les amis" !


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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 14:59



Quelques mois après ma déclaration d'amour "Homme nipotente", il me démange, mesdames, de vous balancer quelques reproches bien fondés !

Si nos compagnons font des progrès inouïs, vous, en revanche, faites franchement du grand n'importe quoi. Arrêtez-donc d'accabler vos hommes, et remettez-vous un peu en question. Premièrement, cessez de vouloir égaler les mâles à tout prix. Nous sommes différents, c'est un fait, et c'est une bonne chose. C'est précisément ce qui pimente nos relations et les rend intéressantes. D'autant que si pour les imiter, vous vous mettez à leur piquer les défauts qu'ils abandonnent, là , ça craint carrément ! Alors, arrêtez de picoler comme une nappe phréatique en péril et de fumer comme des vieilles chaudières, c'est tout sauf sexy ! Je ne crois pas qu'être prématurément frippée comme un shar-peï et avoir une haleine de T-rex soit un atout pour vous ! Quant à celles que je croise régulièrement, clope au bec, au volant de leur voiture (fermée), avec leurs enfants à l'arrière, j'ai tout simplement envie de leur claquer le beignet !

Parlons-en des mômes tiens ! Pourquoi cessez-vous de vous sentir femme dès lors que vous devenez mères ? Nous sommes censées être des mammifères évolués, nul besoin d'évincer le géniteur une fois que la couvée a investi le nid ! A moins que ça ne soit qu'une excuse ?! Combien de fois ai-je entendu de la bouche de mes copines "oh moi le sexe, je pourrais m'en passer !" Hé ! J'ai un scoop : Non la frigidité n'existe pas ! Déstressez-vous, et au lieu de vous bourrer d'anxiolitiques, de granules "homéo-pathétiques" ou autres huiles (pas si) essentielles, privilégiez donc les gros câlins : endorphines et détente assurées ! Autre scoop : si vous attendez  encore tout de votre partenaire pour grimper aux rideaux, vous pouvez vous réjouir si vous parvenez à atteindre le 3ème ciel ! Un orgasme, ça se mérite, ça se travaille, ça s'anticipe, bref, bougez-vous un peu bande de feignasses si vous voulez parvenir au 7ème !

Autre conseil, les hommes ont donc récemment découvert qu'ils savaient manier l'éponge et le balai à frange. Il serait peut-être sympa que vous daigniez  empoigner un marteau ou une perceuse non ? Vous êtes capable de vous vernir l'ongle du petit orteil sans dépasser ? Alors vous saurez dégager un angle avec un pinceau à rechampir les doigts dans le nez ! Vous domptez les frisottis comme personne ? Alors vous saurez venir à bout des bulles d'air d'un lé de tapisserie ! Homo modernus a réussi à investir ce qui fut jadis notre terrain de prédilection, alors grelucha contemporanea peut faire l'effort de l'aider dans ces tâches là non ?! Nous sommes toutes des Valérie Damidot en puissance !

Soyez moins superficielles si vous voulez être prises plus au sérieux. Sâchez faire la différence entre ce qui a de l'importance et les petites futilités qui ne valent pas que vous réprimandiez sans cesse votre compagnon. Il est loin d'être parfait, mais vous non plus, soyez en certaines !

Les filles, s'il faut prendre une seule bonne résolution en 2009, privilegiez celle-ci : "C'est décidé, demain j'arrête d'être une chieuse !!"

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A Propos De L'auteur

  • : Le blog de Vanessa Mattin
  • : Mes romans, mes contes, mes humeurs, mes chansons...
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A paraître

Février 2010 : sortie de "La vraie nature du petit Paul Hueur" aux éditions Laura Mare. Petit conte écorigolo à mettre entre toutes les petites menottes !

 


Nain n°1 jette les piles de sa DS dans le composteur ? Capital retraite n°2 se lave les crocs sans couper l'eau ? Héritier n°3 se mélange les poubelles ? Il est grand temps de leur offrir "La vraie nature du petit Paul Hueur" !

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Télé-vénalité



Comment vous procurer mon dernier roman pensez-vous ? Si si je le sens bien ! Eh bien par simple commande dans toutes les fnac ou par chapitre.com ou tout simplement par un petit e-mail à l'auteur, euuuuh, l'auteur c'est moi !!


Pour me contacter.

 

Avec le temps...



Mon premier roman paru en 2005 aux éditions Paulo-Ramand. Comment encaisser sa trentième année avec le sourire malgré une journée anniversaire cauchemardesque.
A part une occasion sur amazon ou fnac.com, voire Vinted, vous n'aurez malheureusement que peu de chances de le trouver.

Recueil de nouvelles



En 2007, paraissait ce recueil de 8 "copains des livres" aux éditions Edilivres au profit de l'AFM (Association Française contre les Myopathies). J'y ai modestement participé avec ces sept très belles personnes rencontrées sur le web ces dernières années (Marie-Paule Asselain, Chantal Bauwens, Marie-Laure Bigand, Jacques Devaux, Liza Lo Bartolo-Bardin, Yannick Piel et Francine Ruellan).